– Le bois possède un charme et une authenticité unique . Pour une isolation optimale sur une fenêtre en bois à l’ancienne , il est nécessaire d’utiliser du mastic , une pate à base d’huile de lin qui vient pénétrer le châssis et durcir au fil du temps. Mais de nos jours , les nouvelles technologies en terme de fenêtre privilégie les joints en caoutchouc intégrées à des par-closes clipsées et petit à petit on assiste à une disparition des fenêtres en bois faites par des artisans ébénistes au grand dame des vitriers sur Paris.
1/ Est ce une bonne chose ?
- Forcément oui pour plusieurs raisons : notre planète n’a pas des ressources en énergie illimité et c’est pour cela que ne pouvons que nous réjouir de la disparition de ce type de fenêtre en bois car elles intègrent des verres simples de 3 ou 4 mm d’épaisseur qui n’aident pas à faire baisser la facture de chauffage . En effet , ces fenêtres à l’ancienne font face à l’invention du double vitrage qui a révolutionné l’isolation thermique et phonique de nos habitations. De plus des matières différentes ont fait leur apparition comme le PVC qui s’avère être le meilleur isolant et l’aluminium plus solide et léger que le métal .
2/ Et pour le charme .
- Il reste cependant des irréductibles amoureux des fenêtres en bois à l’ancienne qui ne les changeraient pour rien au monde , à tel point que certains syndics et association comme l’Unesco interdisent de changer les fenêtres dans bon nombres d’immeubles parisiens . Je pense que c’est un avantage pour le tourisme et l’architecture de la ville de Paris qui garde des vestiges de son histoire , on pense par exemple à l’architecture Haussmannienne très recherché.
En conclusion , il restera toujours des vitrages au mastic sur châssis en bois mais leur nombre ne fera que diminuer pour laisser place aux solutions de la révolution énergétique.