Il y a des châssis très rare comme les châssis en métal à l’ancienne qui sont assemblés par taraudage de visses mais plus rare encore il y a les châssis vitrail au plomb et le bh vitrier Paris va essayé d’apporter des réponses aux questions les plus élémentaires.
1/ Pour quel types de vitrages ?
Ce genre de châssis habite des vitraux de couleurs à l’ancienne qui sont fait en soufflerie de verre , qui sont souvent imprimés « cathédrale » pour le côté historique. Ces vitraux font 3 mm d’épaisseur et les tailles sont petites en hauteur et largeur car ils sont assemblés les uns aux autres. Il y a un choix assez large de couleur à l’heure actuel donc un accès facile à ce genre de verre de couleur à la différence qu’ils sont en série donc fini le verre soufflé pour les puristes de la miroiterie.
2/ Comment est fait le châssis en plomb ?
En fin de compte , cette technique disparaît peu à peu car pour créer un châssis de ce type il faut maîtriser l’art de la fonte. En effet on fait rentrer les vitraux à l’intérieur du plomb chauffé au préalable afin que celui-ci soit malléable . D’ailleurs c’est le seul moyen existant , lorsqu’un client nous a appelé dans le 17 e arrondissement de Paris pour ce type de travaux , il a fallu chauffer au chalumeau le plomb pour pouvoir extraire l’ancien verre cassé et insérer le nouveau. Ensuite il faut tout simplement rabattre le plomb sur le vitrage pour la stabilité et laisser refroidir . En général , ce n’est pas possible à faire chez le client , il faut être en atelier. On retrouve beaucoup ce type d’installation dans les monastères , églises , vielles demeures…
3/ Le prix ?
Le prix est variable , pour du bris de glace cela reste abordable , c’est juste la main d’oeuvre qui augmente . On passera 1 heure de plus que sur un châssis classique. Pour l’installation ce doit être onéreux , il n’y a plus grand monde qui sache faire ce genre de travaux.